RPG :
Nom : Inconnu.
Prénom : Nagayan
Surnom éventuel : Naga’ (Nan nan, pas Nana --‘)
Age : 21 ans
Race : Humain
Dragon/dragonnier : Pas encore.
Magie : Il connaît les rudiments de la magie mais ne connaît pas assez l’ancien langage pour faire des sorts complexes. Il ne connaît pas non plus ses propres limites. Son maitre lui a par conséquent fortement déconseillé de tenter quelque chose un sort qu’il ne serait pas sur de maitriser.
Physique : Nagayan est un jeune homme de taille légèrement supérieure à la moyenne des hommes de l’Alagaesia. Ses cheveux sont d’un brun très foncés, lui donnant un air un peu ténébreux, en accordance avec ses yeux noirs foncés. Son corps est puissant et bien équilibré et on peut juger à sa seule silhouette qu’il est fait pour porter l’épée et pour le combat d’endurance. Sinon, malgré cette noirceur dans ses yeux, on peut y lire assez facilement ses sentiments, son expression changeant visiblement selon son humeur. Lorsqu’il est heureux, il ressemble à un enfant, souriant naïvement, incrédule. Cependant, plus anxieux, son visage s’assombrit fortement, laissant ressortir quelques rides prématurées sur son front. Mais de premier abord, il semble souvent sympathique ce qui facilite le contact.
Caractère, tempérament : Son trait de caractère le plus fort est probablement sa fidélité envers ceux qu’il aime : Nagayan n’hésitera pas une seule seconde pour aller sortir un de ses amis du pétrin, dut-il y laisser sa vie en compensation. Le seul fait de savoir une personne chère en danger lui donne la capacité d’accomplir des exploits. Sinon, il est plutôt réfléchi et tacticien. Avec sa capacité d’analyse rapide et globale d’une situation, il est capable de sortir d’un grand nombre de mauvaises passes, quitte à abandonner le combat s’il le faut. Cependant, d’un naturel plutôt doux et timide, il a tendance à rester en retrait, dans l’ombre des autres, ce qui ne le dérange nullement. Mais il est peut être un peu trop compatissant pour être bon dans une bataille : le seul fait de devoir tuer un homme désarmé le met hors de lui ce qui n’arrange pas la chose. Il est plutôt patient et tranquille au premier abord bien qu’en le connaissant un peu mieux, on apprend qu’il est aussi capable d’agir sur un coup de tête. Ses qualités lui donnent la caractéristique d’être complètement imprévisible pour ses ennemis car c’est toujours le plus malin qui gagne. Et de l’imagination, il n’en manque pas… Il est accroché à un rêve, qui donne un sens à sa vie et qui est de débarrasser les terres du roi Galbatorix. Rêve commun à beaucoup de rebelles...
Histoire : Tout commença une nuit, alors que le jeune Nagayan n’avait qu’un an et demi, dans la rase campagne empirienne, près d’Uru Baen, la sombre capitale de l’Alagaesia. Un couple, assez jeune pour en juger à leurs traits, traverse la plaine sur un cheval lancé au galop. La jeune femme, assise à l’avant du cheval noir, tient dans ses bras un petit enfant aux cheveux sombres, endormi. Sa tête ballote à chaque soubresaut du cheval que sa mère cherche à atténuer pour ne pas le réveiller. Le père tient les rênes à l’arrière. Une barbe naissante et des traits tirés par la fatigue sur son visage montrent que le voyage dure depuis déjà trop longtemps. Les deux jeunes gens semblent apeurés… Un ennemi proche ? Peut être à en juger par les regards d’effroi qu’ils lancent dans tous les sens et à l’allure à laquelle le cheval est lancé. Pourtant, rien ne bouge. Seulement les feuilles des arbres dans les hautes cimes ballotées par la brise nocturne. La lune est ronde là-haut et éclaire les fuyards.
La galopade dura encore une bonne demi-heure, les voyageurs ne s’arrêtant pas, le petit ne se réveillant pas. Ils entrèrent finalement dans une petite forêt et avancèrent plus calmement dans cette ambiance tendue. Une cabane en bois se présenta finalement. L’homme descendit du cheval d’un bond lourd, adressant un regard inquiet à sa femme. Les larmes dégoulinaient le long de ses joues et sa poitrine tressaillait régulièrement sous les sanglots qu’elle essayait d’étouffer. L’homme soupira, les yeux embués de larmes lui aussi. Mais ce n’était pas le moment de faire demi tour. Pas après tout ça. Il détourna son regard de la femme en pleurs et s’avança vers la porte de la cabane, à laquelle il frappa plusieurs coups assurés. Au bout de quelques secondes, la porte s’ouvrit laissant apparaître une vieille femme ridée. L’homme et la vieille échangèrent quelques mots incompréhensibles. Finalement, l’homme retourna près du cheval et tendit les bras pour prendre l’enfant, qui venait de se réveiller et regarder la scène sans broncher. Il regarda sa mère qui pleurait et le serrait dans ses bras, un dernier baiser humide déposé sur sa joue. La dernière image qu’il gardera d’elle avec le cri déchirant qu’elle émit lorsqu’il fut séparé de ses bras pour aller dans ceux de la vieille. Il ne comprenait pas. Mais y avait-il quelque chose à comprendre ?
« Merci de faire ça pour lui… Ne lui dites jamais ce qu’il s’est passé. Jamais. »
Les derniers mots prononcés par la voix grave de son père restèrent ancrés à tout jamais dans la mémoire de l’enfant qui regarda disparaître dans la pénombre sa seule famille. Il n’eut jamais de nouvelles d’eux et ne connut jamais les raisons de son abandon…
C’est dans cette petite cabane qu’il grandit, avec pour seule éducatrice la vieille Romane qui était beaucoup plus sensible que l’on peut le croire au premier abord. Elle l’éduqua comme elle aurait éduqué son propre fils, ne le rendant pas réticent au travail et lui apprenant la situation de ce monde. Ce fut sa seule compagnie jusqu’à ses 12 ans. Il s’attacha très rapidement à la vieille femme et elle à lui, lui donnant tout ce qu’elle pouvait lui donner. Mais la femme était âgée et rapidement, il dut assumer à lui seul les taches de la vie quotidienne pour prendre soin d’elle qui restait couchée à longueur de journée, le rendant beaucoup plus mature qu’aucun enfant de son âge. Il fit ainsi sa première excursion en ville, à Uru Baen, pour acheter sous les indications de Romane des provisions. Il découvrit un univers complètement différent de celui qu’il connaissait dans la forêt. Il rencontra des jeunes de son âge, avec lesquels il sympathisa et apprit le patriotisme. A l’âge de 14 ans, la vieille mourut et il abandonna la cabane, ne pouvant se résoudre à continuer à vivre en reclus dans la forêt.
Il rencontra un homme d’un âge mur qui accepta de le prendre sous son aile pendant quelques années à voyager dans le monde. Son maitre portait le nom de Maiko. Un ancien dragonnier, lui raconta t-il un jour, expert du combat à l’épée. Il lui apprit tout son savoir, commençant par l’entretien physique indispensable. Ils passèrent des jours entiers sans manger pour s’entrainer et surmontèrent des épreuves terrifiantes. Et bientôt, l’élève dépassa le maitre comme il se doit. Il faut quand même souligner que Nagayan était particulièrement doué avec sa fine mais sèche silhouette. Mais l’éducation ne s’arrêta pas là : elle fut aussi morale. Ils discutèrent longuement de la situation politique du pays et Nagayan comprit peu à peu à quel point le l’Empire formé par Galbatorix était mauvais pour le pays.
Il entra donc aux cotés de son maitre dans la rébellion où il perfectionna son art du combat. Cependant, un soir il arriva ce qui devait arriver fatalement : Maiko tomba sous les coups d’un soldat de l’Empire plus puissant que les autres et Nagyan ne put rien faire pour le sauver. Il était arrivé trop tard… Il jura alors à son maitre agonisant qu’il ne laisserait plus jamais mourir quelqu’un qu’il aimait s’il en avait le pouvoir.
Puis il partit seul, la tête baissé par la tristesse d’avoir perdu les uns après les autres ceux qu’il aimait. Il rejoignit les Vardens, les rebelles cachés dans les cités naines. Il apprit avec eux à développer son art de la stratégie et se révéla finalement être un allié très utile. Intelligent, il déjoua les pièges tendus par l’ennemi et réussit à renverser, avec l’aide d’un certain nombre d’autres stratèges, à renverser le cours d’une bataille qui semblait perdue d’avance.
Mais la vie parmi les Vardens le lassa rapidement. Sa course à travers les terres le rendit nostalgique et le jour de ses 21 ans il fit ses bagages et repartit. Son objectif ? Découvrir qui sont ses vrais parents et pourquoi ils l’ont abandonné… Mais la recherche promet d’être longue car il ne possède aucune information sur eux.
Objet particulier : Une épée longue avec une lame puissante forgée par les elfes. Celle de Maiko, son maitre décédé. Elle est de couleur grise qui était de paire avec celle du grand dragon de Maiko partit trop tôt.
Hors RPG :
Prénom : Sans importance...
Age : Bah t'as qu'à compter si tu veux le savoir parce que moi j'ai la flemme, ça serait trop long ^^
Avez vous lu le reglement ? Mouai.