Mialy

ft. personnage sur l'avatar

Âge : 18 ans Originaire de : Montagne des Beors Race : Magicienne (Mi elfe - Mi humaine/magicienne) Métier/Occupation : Nomade Animal fétiche : Un loup Arme: Pas d'arme (pour l'instant) Armée: Neutre

Caractère & Physique

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Mialy, depuis son enfance, est une petite sauvageonne, pas très soignée et un peu maigre. Ses longs cheveux bruns ne sont pas coiffés, sa peau blanche est sale par la terre et ses habits ne sont que de simple lambeau de tissus trouvés par-ci par-là. Mais sous son aire de mendiante, ne vaut mieux pas la sous-estimer car elle apprit par elle-même à survivre à ses besoins dans les forêts des montagnes du Beors. L'enfant a bien grandi aujourd'hui mais elle garde en elle une partie d’insouciance et de naïveté de son enfance. C'est une solitaire, elle ne fait confiance à personne comme lui a toujours répété sa mère et est trop timide pour rejoindre la civilisation. Le monde est trop vaste ce qui lui fait bien peur. Pourtant, ses yeux bleus et son sourire ravageur pourraient faire un malheur. Mi elfe par son père - Mi humaine par sa mère, elle garde le physique des humains alors que sa personnalité est proche de celle des elfes. Elle chante aux arbres, à la nature et reste proche des animaux qui sont sa seule famille. Calme et sereine en général, qu'adviendra-t-il quand il faudra affronter le monde extérieur et sa civilisation ?

Histoire

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L'amour, ce sentiment d'attirance et de passion entre deux êtres, quel que soit sa race. Ce sentiment se manifeste à différent niveau: l'amour familiale, l'amour entre amis, ou bien encore l'amour charnel. On dit que sur terre chaque être à son complément, une âme sœur. Une compatibilité parfaite entre deux individus. Et une chose est sûre, c'est que je suis née d'un amour aussi puissant... Enfin, d'après les dires de ma mère, parce qu'un jour il se trouvait que mon père était le prince du désert du Hadarac, un autre jour un être d'une beauté éternelle aux oreilles pointues et aux trais fins qu'elle surnommait d'elfe (même si la seule vision que je me faisais de cette image était un lapin), puis un autre jour un magnifique chanteur à la voix envoûtante, mais encore un horrible Urgals qui viendrait à mes 10 ans me dévorer si j'étais pas plus sage (mais ça j'y ai pas vraiment cru!).
La seule chose dont j'étais réellement sûre dans cette histoire, c'est qu'elle n'a entraîné que tristesse derrière elle... Chaque jour, je voyais les trais marqués sur le visage de ma mère par la fatigue. J’aurais tant voulu trouver une solution pour combler le vide qui est en elle.
Mais traite de bavardage ! Ma mère et moi, sans le fameux père inconnue, avons traversé la chaleur du désert du Hadarac, affronté le froid des montagnes du Beors et retraversé la chaleur du Hadarac pour ré affronté le froid des montagnes du Beors.
- Maman, pourquoi on marche tout le temps ?
- Pour te faire les muscles jeune fille !
- Maman, pourquoi on rencontre jamais des personnes comme nous ?
- Parce qu’on évite la guerre ma fille.
- Maman, pourquoi y a la guerre là-bas ?
- Parce que les humains aiment bien joué à se taper dessus. Le monde qui nous entoure, est cruel. Il faut se méfier des personnes que l’on rencontre car même si elle se montre sympathique avec toi, d’un instant à l’autre elles te trahiront.
- Ah … Maman, pourquoi …
Nous avons continué a traversé le désert du Hadarac et a marché dans les montagnes rocheuses du Beors, sans que j’en ai la moindre idée. Jusqu’à mes 7 ans, où je dû perdre l’innocence et l’insouciance de l’enfance.
- Vite ! vite ! Mïaly. Cache-toi ! Vite cache toi ici. Le tronc d’arbre est creusé.
- Maman, pourquoi je dois me cacher ?
- Cache-toi ici, et ne bouge pas. C’est dangereux dehors.
- Maman, pourquoi c’est dangereux ?
- Ecoute ma chérie. Ne bouge pas, ne sors pas et ne parle pas. Maman revient vite.
A ce moment, je n’avais pas saisi ni compris le danger qui rodait autour de nous. Si seulement je n’avais pas été si jeune, si seulement… Je suis restée là, blottit dans le creux du tronc d’arbre, derrière les buissons. L’air était devenu glacial. Tout était silencieux. Ma respiration bloquée.
Cinq minutes ne s’étaient même pas écoulées avant que les bruits de combat commencèrent. Je tentais un regard en dehors de ma cachette et vit ma mère se battre contre trois Urgals. Tout mon être fut envahi par la peur. Même si ma mère usait de sa magie, les Urgals étaient plus fort, plus nombreux. J’étais pétrifiée devant leur physique. L’un avait une balafre qui lui barrait le visage, l’autre était gros, trapu et poilu avec deux dents en moins sur le devant, quant au dernier il était bien plus effrayant avec ses yeux rouges injectés de sang. Son regard croisé le miens et je vis son sourire. Il arriva derrière ma mère, la tira par les cheveux avant de lui enfoncer sa lame dans son ventre. Tous les trois se mirent à rire tandis que je restais pétrifier. Ils partirent laissant le cadavre de ma mère derrière eux sans le moindre regard de remord.
Je ne compris pas immédiatement ce qui venait d’arriver, espérant que tout ceci n’était qu’un simple cauchemar et que le réveil fut éminent. J’avançais vers son corps inerte et immaculé de sang. Elle n’avait pas l’air de souffrir. Son visage restait triste et paisible. J’étais toute seule … Ne sachant pas quoi faire, je me roulais en boule contre ma mère, attendant. Je ne pleurai pas mais je jurai sur le cadavre de ma mère que je me vengerai de ses brutes un par un !
- Maman, pourquoi les personnes sont si méchante et font souffrir les autres ?
Mais personne ne répondra à ma question …
La nuit était tombée et les animaux arrivèrent, appelés par l’odeur du sang. J’essayais de toutes mes forces de conserver le corps de ma mère pour moi mais ils étaient trop nombreux. Je ne pouvais rien faire … Seul un loup resta immobile, à attendre ou plutôt à m’attendre … Le loup était grand et gris avec des yeux noirs comme la nuit. Il avança vers moi, majestueusement. Je n’avais pas peur. Mes yeux fixés au siens, je tendis ma main vers lui. Je touchai son museau, remontant ma main entre ses oreilles pour ensuite caresser son dos. Il ne dit rien et ne grogna pas. Il attendait seulement que je sois prête à partir.
- Au revoir maman.
Et ce fut les dernières paroles que je prononçai dans ma langue maternelle avant de partir avec les loups. Et c’est comme ça que je rejoignis la meute de loup et devint l’enfant sauvage du Beors. Pendant des années, j’appris à vivre seule avec des loups, passant tout mon temps à voyager. J’appris aussi à maîtriser quelques tours de magie, à faire mûrir les fruits plus vite, à soigner quelques animaux, à sentir l’énergie de la nature … Jamais je m’approchai des humains et de leur civilisation. J’apprenais à vivre et à survivre… Mais jamais je n’oubliai la promesse que je m’étais faite.
L’année de mes treize ans, je retrouvai le premier, le plus gros et le plus poilue avec ses deux dents en moins. J’étais là, dans la forêt à me promener lorsque je sentie leur présence. Caché entre les buissons je le vis, l’un des tueurs de ma mère. Voilà, six bonnes années que j’attendais se moment, le moment de me venger.
Discrètement, je le suivie jusqu’à chez lui, jusqu’à son village et j’attendis. J’attendais qu’il se retrouve seul. Je n’avais pas la moindre idée de la manière dont je m’y prendrai mais je le tuerai et je le ferai souffrir comme il nous a fait souffrir.
Quand la lune fut pleine et haute dans le ciel, il sortit de chez lui et marcha vers l’extérieur du village. C’est l’heure ! Perchée en haut d’un arbre, j’attendis qu’il passe sous moi et sauta sur lui. Mais à vrai dire, on ne puisse pas dire que mon plan fut très époustouflant car le poids d’une enfant de treize ans est largement inférieur à celui d’un Urgal. En un peu plus clair, il ne tomba même pas, ne cilla même pas. J’étais agrippée à son dos comme une simple idiote et je compris à cet instant que la vengeance m’avait aveuglé.
Oh Oh … il se mit à hurler, bougeant dans tous les sens et essayant de m’attraper sur son dos. Je plaquai mes mains sur son visage et enfonça mes doigts dans ses orbites crevant ses yeux. Je le mordis dans la nuque jusqu'à ce que je sente le gout du sang dans ma bouche. L’Urgal hurla de douleur, se cognant et me cognant contre les arbres environnants. Je lâchai prise au deuxième coup et le regarda souffrir de douleur. De ma main droite, je saisi une pierre et attendit qu’il se calme avant de lui balancer ma pierre et de l’assommer. Je pris ma pierre, me mis au-dessus de lui et le frappa, frappa, frappa de toute mes forces sur sa tête jusqu’à ce que sa boîte crânienne se brise et se répand sur le sol. Mon visage était éclaboussé de sang et mes habits immaculés de sang. La meute arriva et dévora le cadavre
Ma première vengeance était accomplie. Plus que deux …
Chaque nuit de pleine lune, depuis ce jour, on entend les cris d’une enfant aboyant comme un loup jusqu’à ce que vengeance soit accomplie.
Aujourd’hui, elle fête ses dix-sept ans et il ne lui reste plus qu’un Urgal, celui qui avait emplie son cœur de peur et de crainte. L’Urgal aux yeux injectés de sang …

Derrière l'écran

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Moi !! Bonjour à tous, je suis Laetitita. J'ai 19 ans et j'adore écrire !! Anciennement, je suis Raya pour ceux qui me connaissait et je connais donc se forum depuis plus de cinq ans, après avoir été une fan inconditionnelle du livre et de son univers. Ça fait un an et demi que j'ai arrêté d'écrire mais mon imagination est trop débordante !! MWAHAHAHA ! Le retour ...
Mot de passe: Petit pois dans la chaussette.