NOM
PRÉNOM

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NOM : PRENOM(S) : Raya SURNOM(S) : RACE: Elfe LIEU DE NAISSANCE : Ellesméra ÂGE : 117 ans SITUATION FAMILIALE :plus de famille à sa connaissance

Me and Myslef

Caractère : Avant d'oublier son passé, Raya était du genre jovial, la plupart du temps car tout les moments d'une vie ne sont pas toujours aussi facile à endurer. D'ailleurs, c'est une partie d'elle qu'elle ne préfère pas montrer aux personnes qui voyagent avec elle ou qui l'entoure. Elle préfère remonter ses problèmes seuls car c'est ses problèmes et pas ceux des autres. Elle n'est pas très bavarde sur ses sentiments et sa vie. C'est une solitaire et un peu renfermée sur elle-même. Mais, elle se montre toujours souriante, rigolote et volontaire. Même si, elle n'aime pas qu'on s'occupe de ses problèmes, elle aime s'occuper de ceux des autres, de les aidés, de les encouragés. Et oui, un peu contradictoire la fille ! Face à un adversaire, elle reste sérieuse, attentive et prend immense plaisir à se défouler, à transpirer et à vaincre son adversaire. Car après ... un bon bain ! Rien de mieux pour se détendre!
Mais, son caractère changea du tout au tout dans sa nouvelle vie. Son cœur se remplie de haine chaque jour passé dans sa nouvelle vie. Elle déteste tout le monde, ne supporte personne surtout ceux qui osent lui donner des conseils ou des ordres. Aussi, pour elle la vengeance est un plat qui se mange froid, elle aime, non s'est même bien plus qu'aimer, faire souffrir ses victimes, les voir agoniser devant ses yeux et la supplier jusqu'à ce qu'elle en ai marre de ses gémissements et les tue un bonne foi pour toute ! Elle est d'un sadique irrémédiable. Elle est patiente, déterminée et arrive souvent à ses fins. Ce qu'elle déteste le plus, c'est qu'on la touche, le contacte d'une autre personne sur elle ou ses marques d'affections. On peut dire que ça l'agace et que ça la met hors d'elle. Le mal, c'est son amour!

Physique : Avant ou après, Raya restera Raya, une elfe! De longues oreilles et pointue, les traits du visage fins et tirés, des yeux bleus claire et presque gris, des cheveux bruns, mi-longs, dessinant de légères boucles sur les pointes, un petit nez tout mignon tout plein et pour finir sur son visage, des lèvres appétissantes ni trop pleine, ni trop mince. Et là, on pourrait se dire que c'est l'être le plus parfait! Une elfe quoi! Hélas, ... Un être aussi parfait est irréel et il aurait fait tourné la tête à tout ses messieurs. Raya a une carrure plutôt large, même si elle reste assez svelte du à ses voyages et à l'énergie qu'elle dépense. D'ailleurs, elle reste assez fier de son postérieur bien musclé ! Elle trouve ses pieds laids. Bon d'accord, il passe leur temps dans des chaussures mais bon une foie sortie, l'horreur ! ... et l'odeur !! Puis, on ne peut pas dire qu'elle est une poitrine petite ... mais plutôt généreuse et un peu trop à son goût qui manque de raffinesse ce qui restreint le choix de vêtement. C'est pour cela qu'elle est très très souvent habillé d'un corset qui lui maintient le dos et sa poitrine. Ainsi que d'un pantalon ou d'une jupe, sans oublier les bottes! Et oui de belle botte montant jusqu'au genou avec de petit talon dont elle adorait leur bruit sur le plancher ou sur les dalles de pierre. Hélas, lord de ses voyages, elle a vite fait de s'enfoncer dans la boue. C'est pour cela, héhé, qu'il a ses vieilles bottes toute salle de terre. Astucieux !

Principales qualités & défauts : Mmmh ... difficile de s'avouer ses qualités et ses défauts. Mais les défauts restent les plus perceptibles à voir et à les remarquer sois-même. Raya sait qu'elle un mauvais caractère, surtout le matin. Elle est renfermé sur elle-même, pas très bavarde et préfère que se soit les gens qui viennent vers elle que l'inverse. Elle reste donc un peu timide. De plus, elle est un peu jalouse surtout quand il s'agit de magie car sa magie reste basé sur la médecine. Elle sait que se domaine demande un forte énergie mais dans un combat, elle n'y arrive à rien. Cela peut paraître bizarre mais c'est comme si un barrage se dressait face à elle. D'ailleurs, elle arrive à soigner les autres mais pas elle. Pour elle, son pouvoir lui semble inutile et envie les personnes qui réussisse dans se domaine. Mais, elle reste en revanche très doués dans le combat au corps à corps, une de ses principales qualités, même si pour elle, elle se trouve moyenne. Elle est aussi généreuse et aime aider les personnes en difficulté ou dans le besoin. Ce qui deviendra alors différents plus tard et avec comme qualité son sadisme.

Autre : /

My life

My life


Histoire : « Je suis Raya, fille de parent mort à la guerre avec pour seul souvenir d’eux un album photo, sûrement comme la plupart des gens de se monde. J’ai été élevée par ma grand-mère au du Weldenvarden à Ellesméra mais en retrait de la ville. Mais, depuis sa mort, j’ai tout quitté, ma maison, les rares amis qu’ils me restaient et mon ancienne vie. La vie à attendre désespérément, dans la tristesse les survivants d’une guerre. J’aurais voulu partir à mon tour mais je devais rester au côté de ma grand-mère. C’est elle qui m’a tout enseigné, l’art de combattre, l’équitation, la danse, la lecture, … et le plus important, la vie. Elle me disait sans cesse « Ne t’inquiète pas ma puce, ton tour viendra » ce qui avait le don de m’agacer et elle avait raison, mon tour ne vint jamais … »

- William !! C’est bon comme ça ! Je n’aime pas trop écrire.
- C’est tout !! Raya, prend ton temps, ne perd pas patience aussi vite. En plus, on dirait que tu fais passer ta grand-mère pour la méchante.
- Roh ! Mais ça sert à quoi que j’écrive !, ronchonna la jeune femme. Si je suis montée sur se bateau, c’est pour voyager tranquillement et non pour avoir un grand-père derrière mon dos !
- Oh ! oh ! oh !, ricana le vieille homme. Sacré caractère ! Tu crois que j’aurais eu mais chance avec ta grand-mère ?

Raya le regarda en détail de bas en haut puis fit une grimace en signe de négation. Le bon vieux bonhomme se remit alors à rire de plus belle.

- Ta grand-mère ne t’a donc pas enseigné la patience ?, reprit-il.
- Au contraire ! Il m’arrivait de passer des journées à méditer sur un simple rocher. Mais, là je ne vois pas l’intérêt d’écrire.
- En écrivant, c’est comme si tu te confiais à quelqu’un. Et, de nos jours, il est difficile de faire confiance à des personnes, même ceux qui peuvent paraître les plus proche de vous. On doit toujours rester sur ses gardes. Ainsi, quand tu écris cela te permet de libérer ton cœur d’un poids lourd que tu lui fais subir. Il a besoin de respirer, tout comme toi ! Puis, tu laisses sur ses pages vierges une partie de toi.

La jeune elfe ferma le livre encore vierge et le rangea dans son sac.

- Je verrais ça plus tard alors ! Pour l’instant, je préfère profiter de la beauté de la mer.
- Comme tu veux ma belle mais penses-y !

Raya posa un baiser sur le front du vieille homme et s’en alla sur le pont rejoindre les marins.
A chacun de ses pas, le son des talons de ses bottes raisonnaient contre le plancher en bois du navire. La jeune femme portait sur elle une simple jupe marron qu’elle avait déchiré au niveau des genoux, un corset noir et par-dessus pour se protéger du vent, une longue cape grise et une écharpe en toile blanche. Elle gardait toujours sur elle un poignard qu’elle cachait dans sa manche. Elle n’avait pas confiance en certaines personnes sur se bateau. Surtout ceux qui avaient désapprouvé qu’une femme monte sur le navire car cela porterait malheur, la regardant maintenant d’un œil mauvais. Elles trouveraient ses superstitions humaines toujours aussi débile !
Puis, elle marcha jusqu’à l’avant du pont et s’assit sur la rambarde face à la mer, ses longs cheveux bruns dans le vent. Elle aimait le bruit de la mer et respirer des grands bol d’air frais. Aussi, rester des heures assises à contempler l’horizon ne la dérangeait nullement. Elle s’était toujours demandée ce qu’il y avait au loin mais personne à sa connaissance n’avait fait d’expédition à ce sujet. Peut-être qu’il n’y avait tout simplement rien ! Mais sa curiosité resterait toujours aussi débordante et ses questions sans réponses.

La nuit était tombée et le temps s’était rafraîchi. Raya leva la tête pour admirer le ciel mais les étoiles et la lune étaient cachées par d’épais nuages. Elle entendait d’en bas, de la salle commune, les rires et les chants des marins. Normalement, le voyage se terminait demain à Kuasta et elle pourrait reprendre sa route. Assise, adossée au mât, elle sortit le livre au page vierge que lui avait donné William ce matin.

« J’écris ses quelques lignes pour le plaisir de mon cher William, un vieille homme qui m’a aidé à monter sur ce rafiot. Brefs !

Au contraire de ce qu’on pourrait penser en lisant ses premières lignes, j’aimais ma grand-mère plus que tout. C’était ma grand-mère à moi ! Elle m’a tout appris et je lui en étais redevable. La vérité c’est qu’elle m’a toujours poussée à rejoindre l’armé. Mais, elle était tellement malade que je ne pouvais pas l’abandonner et la laisser toute seule dans sa vieille cabane. J’avais peur que si je partais et qu’à mon retour elle n’était plus de se monde, de ne pas lui avoir dit au revoir et de le regretter. Il n’y avait qu’elle qui comptait autant dans ma vie, seulement elle … Alors, le jour où elle s’est éteint, je suis restée des mois seule dans cette vieille cabane à pleurer comme une madeleine. J’ai un peu, beaucoup en y repensant… J’aurais du affronter le destin et partir rejoindre l’armée mais j’avais l’impression de me sentir soudainement si seul et désespérer comme si vivre n’avait plus aucune valeur. J’avais perdu tout goût à la vie. Je ne voyais plus la raison de mon existence. Jusqu’au jour où j’ai décidé, du jour au lendemain, de partir de cette forêt pour voyager dans l’Alagaësia et trouver un but à ma vie.
Je ne regrette pas d’être partie sans savoir où j’allais mettre les pieds, à parcourir un monde qui me restait totalement inconnu. J’ai pu rencontrer de nombreuses personnes gentilles comme méchantes et ses personnes m’ont redonnés goût à la vie sans qu’elles ne s’en aperçoivent. J’ai été triste et j’ai été heureuse. J’ai aimé et j’ai haïs. J’ai couru pendant des heures à en perdre mon souffle et j’ai marché dans la solitude. J’ai dansé pendant des nuits entière à en avoir mal au pied et j’ai combattu avec rage pendant des heures jusqu’à vaincre ou à être vaincue. Ma vie a pris des tournants inouïs que moi-même je n’aurais imaginé au départ, renforçant au fil des jours, des mois, des années mon cœur et mon corps.
J’ai aidé certains villageois à se remettre sur pied après que le mal soit passé. Une façon pour moi de faire le bien sans à culpabiliser d’avoir abandonnée mon peuple. J’aime se monde, ses danses, ses musiques et sa population. Sauf que certains ne s’aperçoivent pas de la beauté qui les entoure et ont une préférence avoir les gens souffrir. Un mal qui ronge petit à petit mon bonheur chaque jour. C’est pourquoi comme dit ma grand-mère, mon heure est venue de défendre mon bonheur. J’aurais voulu que cela se passe dans d’autre condition que faire une guerre et tuer peut-être des hommes qui n’ont pas souhaité d’être sur se champs de bataille. Mais la vie semble en décider autrement. C’est pour cela que je rejoins … »

Un coup de tonnerre retentit et un éclair déchira le ciel. Pendant qu’elle était en train d’écrire, elle n’avait pas remarqué que la mer se déchaînait violemment et que de l’eau lui arrivait au pied.

- Vite ! Il faut replier les voiles sinon le mât va tomber !!, cria un marin.

Raya referma le livre et récita une petite formule pour le sceller avec un mot de passe, au cas où quelqu’un tomber dessus et le protéger de l’eau. Puis, elle grimpa à toute vitesse sur le mat pour aller aider les marins à ranger les voiles. Mais, il était trop tard. Elle entendit un craquement sourd et le mât pencha dangereusement sur la gauche avant de tomber, cassant le milieu du bateau.
Lors de la chute, elle s’accrocha au mât et sauta sur le pont au dernier moment. Mais la réception fut plus mauvaise qu’elle ne l’aurait pensé et sentit son poignet craquer douloureusement. Elle laissa échapper un juron et se remit debout, courant vers le canot de sauvetage que mettait à l’eau des marins.

- Ah non pas toi !, l’interpella un marin. J’avais dis quoi ! Les femmes sur un bateau sa porte malheur et regarde ce qui arrive.

Raya agacée voulu le contourné mais il se posta juste devant elle l’empêchant de passer. Elle sortit alors son poignard le menaçant. Mais têtu comme il était il ne bougea pas d’un cil. Elle rangea son poignard car son but n’était que de le faire peur et non de le tuer. Une dernière solution s’offrit à elle, elle donna un coup de pied dans l’estomac de l’homme qui tomba par-dessus bord et sauta à son tour dans la mer rejoignant le canot.

- Raya !!

Qui pouvait bien l’appeler ? Elle se retourna et vit William sur le pont.

- Sautez William !
- Mais je ne sais pas nager.
- Ce n’est pas grave. Sautez ! Je viendrais vous aider.

Elle fit alors demi-tour et rejoignit William qui avait sauté et se débâté à rester la tête hors de l’eau.

- Arrêtez de bouger !, ordonna t-elle se prenant un coup de bras au passage.

William cessa de bouger et elle nagea, le traînant le plus vite possible qu’elle pu vers le canot mais son poignet cassé les ralentissait. Arrivés au canot, à bout de force, elle hissa William et là, surprise, elle n’eut pas le temps de réagir que le marin qu’elle avait balancé dans la mer la frappa à la tempe avec une rame. Puis ce fut le trou noir …



- Oh ! Ma demoiselle ! Réveillez-vous !
- Regarde s’est une elfe.
- Qu’est ce qu’on fait ? On la tue !
- Bah … elle est peut être déjà morte !
- Mais non idiot ! Regarde, elle respire.
- Bah … on va voir le maître. Il sera peut être content qu’on est capturé une elfe.
- Ouais ! mais c’est toi qui la portes. Je prends son sac !
- Pff …flemmard !

Ses quelques heures plus tard, qu’elle ouvrit les yeux. Elle était dans un lit, le poignet bandé et un mal de crâne pas possible. Un homme s’approcha d’elle.

- Où suis-je ?, demanda t-elle.
- Vous êtes à Teirm !, lui répondit-il d’une voie sèche.
- Teirm … Teirm ?, répéta t-elle car se nom ne lui disait rien.
- Oui Teirm ! Et vous qui êtes vous ?
- Je m’appelle …, voulu t-elle répondre mais le nom de vint pas. Je … je sais pas.

L’homme sourit comme s’il était satisfait de sa réponse. Puis, il sortit de la chambre, laissant la jeune elfe totalement déroutée.

C’est là que sa nouvelle vie commença. Une vie où on lui apprit le mal et à répandre le mal. Elle était sans pitié et appréciait voir les personnes souffrir sous sa lame. L’homme qui l’avait recueilli était devenu son maître mais l’élève ayant dépassé le maître, elle lui transperça le cœur un jour de haine.

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PRENOM &/ou SURNOM : Laetitia CELEBRITE SUR L'AVATAR : Jennifer Love Hewitt COMMENT AVEZ-VOUS DECOUVERT LE FORUM ? Par hasard, il y a 3 ans et demie ! CE DERNIER VOUS PLAIT-IL ? Oui sinon je serais plus là depuis longtemps ! ^^ CODE :Je suis une loutre! Oô

HAN
C'est bien écriiit =DDD
C'est bien tout court xDDD
Par contre, est ce que tu pourrais prendre le modèle de présentation exact s'il te plait ? =DDD