I. VOTRE PERSONNAGE
Nom : Grindhaw
Prénom : Clive
Surnom éventuel : /
Age : 32 ans
Race : Humain
Dragon/Dragonnier : /
Magie ? :
Il est capable d’empêcher les sorciers de pénétrer dans son esprit, mais sa connaissance de la magie se limite uniquement à la défense mentale.
Physique du personnage :
La première chose que l’on remarque chez Clive, ce sont ses yeux. D’un blanc neigeux, ils reflètent une lassitude et une indifférence éloquente. Bien qu’âgé de 32 ans, on peut également constater chez lui des cheveux de la même couleur que ses iris. Ceux-ci sont mal coiffés, et affichent un côté rebelle rajoutant au charme et à l’aura se dégageant de lui. Il est habituellement vêtu d’un long manteau de cuir* noir, lui tombant jusqu’au bas des jambes. Il porte au côté une épée longue. Des épaules de taille moyenne, un corps svelte et de longues jambes définissent ses attributs de combat. Ses mains sont recouvertes de mitaines.
Caractère du personnage :
Clive est quelqu’un de plutôt réservé, accordant rarement confiance aux gens qui l’entourent. Dans son cœur se mêlent rage et besoin de voir le sang de ses ennemis couler, ainsi qu’une indifférence choquante pour le monde qui l’entoure. Il a l’habitude de passer ses soirées à boire de l’alcool à n’en plus finir, au-delà du raisonnable. Au fond de lui, c’est un homme désespéré qui ne voit comme raison de vivre que la vengeance. Pour les autres autour de lui, c’est une personne attirante physiquement, mais bien trop antipathique et mystérieuse pour vouloir l’approcher plus que de raison. Il est solitaire, et ne veut par-dessus tout pas s’attacher à quelqu’un.
Histoire :
Clive naquit à Belatona d’une mère prostituée et d’un noble de passage, qui l’avait payée pour une nuit. La pauvre se retrouva donc avec son fardeau, qu’elle du élever seule. Ce fut une mère aimante et attentionnée, qui ne se plaignait jamais de sa pauvreté et des autres problèmes dus à sa naissance. Elle lui apprit la vie dans la rue, il découvrit ainsi très vite la dureté du monde qui l’entourait. C’était à cette époque un enfant social et intéressé, agréable à vivre. Mais le destin allait le changer radicalement. Ses serres le happèrent brutalement peu de temps après son quinzième anniversaire, où sa mère fut brutalement assassinée par l’un de ses clients, une nuit où Clive courait, comme à son habitude, le long des rues de la ville. A son retour, le sang maculait la petite bâtisse qu’ils habitaient, et un poignard à poignée d’argent était posé sur le sol, à côté du cadavre de la femme qui lui avait donné la vie. Ses cris déchirèrent la nuit, et ses sanglots se mêlèrent au liquide rouge qui était autrefois propriété écroulée dans ses bras. Alarmée par ses hurlements, la milice de la ville pénétra chez lui. Malgré ses explications, les hommes l’arrêtèrent, et le condamnèrent à une mort par pendaison sur la place publique. Ils n’étaient que trois, et Clive réussit à s’en débarrasser au cours d’un combat qui lui couta une entaille à la jambe et trois vies arrachées. S’en était trop pour lui. Il quitta la ville.
Il arpenta l’Alagaësia du nord au sud, de l’ouest à l’est, et finit finalement par arriver devant les portes de Teirm où il fit la rencontre de l’homme qui avait fait de sa vie un enfer. Il comprit tout de suite qui il était, en voyant les dagues en argent qu’il portait à ses hanches. C’était les mêmes, aucun doute.
Il courut vers lui et lui assena une droite qui le fit s’écraser au sol. Avant que Clive ne puisse l’achever, des mains l’agrippèrent et le trainèrent jusqu’à la caserne de la ville, où il fut roué de coups par les gardes, avant de voir arriver l’individu qui était la cause de sa présence ici. Il était vêtu de l’armure des guerriers de la ville, et des médailles brillaient à sa poitrine. La vérité lui fit l’effet d’un coup de poignard en plein cœur : cet homme n’était autre qu’un général de l’armée d’Alagaësia. L’homme le laissa finalement partir quand il lui dit la raison pour laquelle il l’avait agressé. Le général rit, ses collègues aussi. Apparemment, c’était pour eux, et pour tout gradé de l’armée, une sorte de tradition de faire ce genre de chose chaque fois qu’ils sont dans une ville inconnue.
Il pleura, les larmes lui coulant sur les joues, la colère lui lacérant la poitrine. A compté de ce jour, il ne vécut plus que pour lui-même, et s’installa à Dras-Leona, où il devint Tueur à gage, sous couverture de serveur dans une taverne. Ses soirées suivirent toujours le même schéma. Il buvait, buvait, et buvait, jusqu’à ce que son corps ne le supporte plus et qu’il aille se coucher. Ces soirées affectèrent sa santé, et sa vision diminua, ainsi que sa force et son habileté. Il ne vivait plus que dans un fantasme irréalisable : la chute de tout gouvernement, quel qu’il soit, Varden ou Impérial, Elfe ou nain, car le pouvoir pourrissait la nature des vivants. Mais ce n’était qu’un rêve éveillé, provoqué par un passé tragique et trop grande quantité d’alcool dans le sang. Il savait au plus profond de lui-même qu’il ne serait jamais que Clive, le serveur-Tueur-à-gage de la taverne à l’ouest du marché aux esclaves.
Objet particulier : Son manteau, qu’il ne quitte jamais, sans réelle raison.
*Je ne sais pas si c’est réaliste pour l’époque. Si ce n’est pas le cas, veillez me le dire, je changerai.
II. VOUS
Prénom : Michel
Age : 17 ans.
Réglement : OK by Contak