je cours,je cours, mon souffle est retenue dans ma poitrine,la peur est grandissante,il cours,il cours,j'ai mal au jambe mais je cours,je cours et là je trébuche; la pleine lune projette son ombre sur moi, il tient un couteau qui s'abat lentement sur moi ,non,je ne veut pas mourir,non il ne faut pas. Je suis en sueur,ce n'était qu'un mauvais rêve, un de plus, je m'assoit sur mon lit, enfin ce qu'on peut appeler un lit : une sorte de paillasse sur laquelle je suis prise en sandwich.Je reste assise là comme ça, dehors le ciel est bleu les oiseau chante après une nuits horrible, une journée de soleil. mon "lit" est placée devant la fenêtre. Je dors dans une pièce où prolifèrent les rats dedans je n'ai rien à part une petite commode où je range mes trésors, je les effleure du doigt: un branche tordue,une pierre verte maguie m'avait dit que c'était une turquoise et comme le vert était la couleur de la chance elle a ajouté que j'étais une chanceuse, je prend une dernière respiration et referme le tiroir avant d'aller cueillir des boutons d'or au fleuve. je prends mon carquois, je ne sais pourquoi depuis la mort de maguie je me trimballe avec, je sors par la petite porte en chêne. Dehors il y a une petite brise légère,moi et ma sœur d'adoption, possédons un champ ainsi qu'une étable derrière celle-ci se trouve une forêt qui mène au fleuve mais à l'entrée deux hommes attendent. Ce sont deux voyageur étant arrivé au village il y a peu, l'un est brun,petit et gros tandis que l'autre est tout le contraire; ils ont l'air de m'attendre bien que nous n'ayons pas échangés deux mots. Lentement je sors une flèche de mon carquois et prépare mon arc peut-être qu'il ne sont juste là pour regarder les arbres mais j'en doute ,j'arrive à leur hauteur:

- bonjour messieurs, vous attendez quelqu'un ?

- euh bah ouais

tous deux échangent un regard puis le blond maigrichon reprends :

-on a message pour toi alors suis nous

-pourrais-je vous demander pourquoi ?

non, a priori je peu pa leurs demander alors je pointe mon arc vers eux je tremble, beaucoup trop ma flèche ne toucheras jamais sa cible puis une flèche s'abat sur chacun des hommes ce qui est sûr c'est que ce ne sont pas les miennes alors je me retourne. un autre homme brun tient son arc c'est lui qui les as tuer et je suis heureuse de ne l'avoir pas fait :

- bonjour ,dit-il d'un ton un peu trop heureux a mon goût

- comment pouvez vous être aussi .. aussi

-heureux? , ben c'est simple je viens de sauver une demoiselle en détresse alors je m'estime heureux pour une année

un rire idiot me prit très idiot et ensuite tous c'est mit a tourner et .. trou noir




c pas fini