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 Gaïa, avec un nom pareil tu ne peux qu'accomplir de grande chose !!

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GaïaGaïa
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Féminin
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Armes : Mon épée Minaë
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Gaïa, avec un nom pareil tu ne peux qu'accomplir de grande chose !! _
MessageSujet: Gaïa, avec un nom pareil tu ne peux qu'accomplir de grande chose !!   Gaïa, avec un nom pareil tu ne peux qu'accomplir de grande chose !! I_icon_minitime2012-09-24, 21:32



Gaïa, avec un nom pareil tu ne peux qu'accomplir de grande chose !! Tumblr_m9jcl7j9pz1rx6atno1_500

Gaïa

    ft. personnage sur l'avatar



Âge : 18 ans

Originaire de : Yasuac

Race : Humaine

Métier/Occupation : //

Objet fétiche : Un bracelet en argent avec une spirale sur l'anneau.

Arme: Épée du nom de Minaë

Armée: Varden




Caractère & Physique


Gaïa n’a pas eu une enfance très facile dirons-nous. Elle est plutôt craintive, discrète, timide. Ayant été vendue à 3 ans à un marchand d’esclave, elle fut obligée d’obéir aux moindres désirs. Mais depuis qu’elle a quitté son maitre Zarakaï, elle est plus forte, consciente de son affinité avec les armes blanches. Elle a beaucoup moins peur, même plus du tout, sauf lors de certains moments de blues évidemment, mais reste effrayée par les fouets.
Elle est maligne et intelligente. Elle prend le temps de réfléchir avant d’agir et de partir à l’aveuglette. Elle est très fidèle, loyale et extrêmement dévouée. Attention, ce n’est pas pour autant qu’elle se laisse faire. Elle a de la répartie, et lorsque les mots ne suffisent plus, elle sait se faire respecter.
Il ne faut pas la critiquer sur son physique atypique dirons-nous. Elle est très susceptible au niveau de cela. Même si elle s’est habituée, elle a toujours du mal lorsqu’on se moque d’elle. Elle est tolérante et même si vous êtes sarcastique, méchant, moqueur, elle saura vous pardonner. Peut-être est-ce un défaut que de savoir pardonner ? Ne dit-on pas que celui qui sait pardonner est toujours plus fort que celui qui sait condamner ?



Gaïa a un physique particulier. Bon elle a ses deux jambes, deux bras, deux yeux, deux oreilles et dix doigts, comme n’importe qui. Sa différence ne réside donc pas dans des détails morphologiques. Il se trouve qu’a sa naissance, des particules de magie se sont greffées à son ADN. Aujourd’hui elle porte la trace de la magie sur elle. Sa peau est légèrement bleutée. Un voile fin recouvre entièrement sa peau. Mais ses ongles sont comme ceux des femmes normales. De plus, elle a les cheveux qui oscillent entre le bleu et le blanc, ce qui donne une sorte de gris argenté plutôt rare chez les hommes mais commun chez les elfes. Pour finir ses yeux ne sont pas blancs, enfin pas totalement, encore une fois, du bleu s’est glissé et ses pupilles sont évidemment bleu océan. Des petites tâches de rousseurs blanches parsèment ses pommettes ainsi que son nez. Alors oui elle n’a pas d’oreille d’elfe, ni une queue de dragon et encore moins des cornes d’Urgal, mais elle est différente à sa façon.
Pour ce qui est de son corps, il est fin, élancé. Elle n’est pas très grande mais elle s’en moque. Elle est dotée d’une certaine agilité et ça peux lui être utilise lorsqu'elle a besoin de grimper dans un arbre pour échapper à un quelconque animal qui lui ne sait pas grimper. Elle porte souvent une cape qui cache ses bras, ses jambes ainsi que sa chevelure. Mais il arrive qu’elle l’enlève. A ce moment elle est en robe. Mais je vous arrête, pas une robe de princesse, non une robe légèrement bleutée et qui arrive juste au dessus du genou, avec un short en dessous pour sa pudeur, même si elle n’en a pas vraiment. Elle a tellement été habituée à être dévisagée …

Histoire



La vallée de Palancar, mais quelle sublimissime paysage. Je ne me lasse pas de le regarder, encore et encore. D’autant plus que j’ai mon petit point en haut de la crête qui me donne une vue imprenable. Et le fait de regarder cette vallée, ça me rend nostalgique, et je sens les souvenir de mon enfance qui remonte, loin, très loin au commencement de ma vie, au commencement de mon histoire.

La rencontre d’un homme et une femme peut se faire de multiples façons, il n’y a pas de limite tant qu’on a de l’imagination et un peu de chance aussi. Un homme et une femme se sont rencontré, le comment importe peu ici, ce qui compte c’est le coup de foudre qui s’est produit. Ça leur est tombé dessus comme ça, sans prévenir. C’était magique. Des papillons dans l’estomac, des étoiles dans les yeux et une fascination sans faille. Bref, l’amour quoi. Depuis ce jour, ils ne se sont plus quitté, ils passèrent leur journées ensemble, leur missions ils les faisaient ensemble … Ils se sont installé tous les deux dans une maison proche de la vallée de Palancar. Leur amour était idyllique. De plus le village de Yasuac leur apportait la sérénité et la paix dont ils avaient besoin. Et puis vint le jour où ils décidèrent de franchir un cap : la jeune femme tomba enceinte. Le couple était aux anges, enfin la concrétisation suprême de leur amour allait voir le jour, ils pourront le chérir, lui enseigner tout ce qu’ils savent ! La naissance se passa correctement et la jeune femme donna naissance à une petite Eris.
Il se trouve que nous sommes dans une période où la contraception n’est pas monnaie courante, aussi, durant les années qui suivirent la naissance d’Eris, la jeune maman mit au monde cinq autres bébés : Phoebe, Nyx, Pan, Elios et enfin Gaïa. Malheureusement, les temps ont changé depuis et la situation financière du pays est de plus en plus catastrophique. C’est ainsi qu’à la naissance de la petite dernière, ils décidèrent de l’abandonner. Ils n’avaient aucun regret, aucune peine à vendre cet enfant au plus offrant. Eris et Phoebe tentèrent de persuader leurs parents de la garder mais leur choix était tout arrêté. Une bouche à nourrir en plus, du temps à lui accorder alors que Elios et Pan ne sont pas encore en âge de s’occuper d’eux tout seul. Il était évident que même les supplications de ses deux grandes sœurs n’ont pas suffi à faire changer d’avis les parents de Gaïa. C’est ainsi que, trois ans plus tard, les parents de Gaïa vendirent leur fille cadette au marché des esclaves. Ce n’était qu’une maigre somme, mais ça leur permettrait de vivre un peu mieux pendant quelques jours de plus. Ils ont été obligés de la garder trois ans car la loi est ainsi faite, les enfants de moins de trois ans ne peuvent être vendus. C’est donc ses grandes sœurs qui se sont occupées de la petite fille durant ses années. Elle était menue car ne mangeait pas toujours à sa faim, plutôt réservée et calme. A trois ans, elle savait déjà faire les quelques tâches ménagères que lui avaient appris ses deux grandes sœurs. Elle savait qu’elle finirait par être vendue, alors autant qu’elle sache se débrouiller un minimum. Elle parlait, marchait, courait, nettoyait et savait même s’occuper d’un jardin.

Le jour fatidique arriva enfin, le jour où elle perdrait tout ce qu'elle avait de plus cher, ses soeurs, ses frères et ses parents. Car même s'ils la vendent, elle sait que c'est une question d'argent et non d'amour. Le père, la mère et les deux ainées accompagnèrent la jeune Gaïa. Le marché de Yasuac ne dispose pas d’un marchand d’esclave, ils durent donc aller jusqu'à la ville de Gil’ead, autrement dit la capitale. La route leur prit une journée entière dans leur petite charrue. Une fois sur place, ils se dirigèrent vers le centre de la ville, là où il y avait un monde fou. C’est Eris qui tient la main de Gaïa. La petite fille sait ce qui va lui arriver, mais elle garde le sourire car elle veut rester heureuse pour les derniers insants qu'elle va passer avec ses sœurs. Une fois devant le marché, Phoebe prit la deuxième main de Gaïa, comme pour lui donner du courage. Gaïa aime du plus profond de son cœur ses deux grandes sœurs. Nyx quant à elle porte bien le nom de la première divinité issue du Chaos. Elle n’a jamais porté d’attention à Gaïa, au contraire, elle l’a toujours méprisée. Quand à Pan et Elios, ses deux grands frères qui ne sont pas beaucoup plus âgés qu’elle, ne comprenaient pas ce qu’il se passait.
Ils arrivèrent devant le marchand. Les parents négocièrent pour un tirer un maximum d’argent de leur fille cadette, quitte à la vendre, autant qu’elle leur rapporte gros ! Mais le marchand n’était pas facile en affaires et c’est ainsi que Gaïa fut vendu aussi cher qu’un kilo de pomme de terre, autrement dit une misère. L’homme au gros ventre disait que son physique repoussant sera un frein à la vente. En effet, Gaïa n’est pas comme toutes les petites filles. Ses parents n’ont jamais su pourquoi elle avait une couleur de peau légèrement bleuté, des cheveux gris et des taches de rousseurs blanches sur les pommettes.
Ses parents partirent sans même se retourner, seules ses deux sœurs eurent du mal à la laisser ainsi avec cet homme qu’elles ne connaissaient ni d’Eve, ni d’Adam. Mais elles n’avaient pas le choix. Et c’est avec un déchirement au cœur que les deux grandes sœurs abandonnèrent Gaïa à son triste sort. Une fois que toute son ancienne famille fut hors de vue, les larmes se mirent enfin à couler, elle se rendait compte à l’âge de trois ans que sa famille venait de l’abandonner, et ça fait mal. Elle porta sa main à son cœur comme pour apaiser la douleur qui la rongeait de l’intérieur.
Malheureusement pour elle, comme l'avait pressentit le marchand, elle ne vendit pas bien. En effet, lorsque sa famille l’a abandonné elle n’avait que trois ans, or les enfants de cet âge ne sont pas très prisés. C’est ainsi que tous les jours de marché, à raison de trois fois par semaine, elle portait les chaînes propres aux esclaves, montait sur l’estrade et attendais là pendant trois heures. Comme d’habitude, personne ne l’achetait, le marchand avait raison, son physique repoussant n’était pas un atout pour la vente et à chaque fois qu’elle montait sur scène, c’était avec presque un dégout qu’il la regardait. En somme, à l'instar d'une bête de foire. Elle ne savait pas si elle devait être contente ou non. Quand le marché était fini, elle retournait dans la cage avec d’autres femmes, d’autres hommes et leur marchand les ramenaient à son campement, un peu en retrait de la ville. Là-bas, elle avait le strict minimum pour ne pas paraitre trop faible. Elle dormait dans une tente avec 9 autres personnes : 6 femmes, 2 hommes et une autre petite fille qui devait avoir un ou deux ans de plus qu’elle. A chaque fois qu’un esclave était vendu, un nouveau prenait sa place et ainsi de suite. Gaïa parlait souvent avec l’autre jeune fille, Minaë qu’elle s’appelait. Elle était gentille, douce et ne prêtait pas attention à sa différence physique… Ce qui était un réel soulagement pour Gaïa. Toutes les deux se remontaient le moral mutuellement. Jusqu’au jour où ou Minaë fut vendue à un homme qui n’avait rien d’un saint. Gaïa ne put s’empêcher de penser à son avenir, et espérer de toutes ses forces qu’elle pourra vivre une vie un peu plus heureuse qu’ici.

Cela fait maintenant cinq ans et Gaïa n’a toujours pas été achetée. Elle a sept ans et a vu passé plus d’une centaine d’esclaves dans sa tente. Elle est la seule à ne pas avoir été vendue et le marchand commence à se demander si c’est vraiment judicieux de la garder. C’est pourquoi avant d’aller au marché, il vint la voir dans la tente et lui dit :

MARCHAND : Si tu n’es pas vendue aujourd’hui, je te tue. Tu me coûtes trop cher et tu n’es pas vendable. Alors un conseil, mets-toi en valeur.

Sur ce, il quitta la tente de la jeune fille. La nouvelle ne résonna pas en Gaïa. Après tout, vu la vie qu’elle avait, qu’elle meurt ou non ne changerait rien, elle ne manquerait à personne. C’est ainsi qu’au moment de monter sur l’estrade avec trois autres femmes, elle ne changea pas de comportement. Elle resta là, cachée derrière sa chevelure balançant entre le bleu et le blanc quand soudain :

HOMME MYSTERIEUX : Je prends 500 pour la petite !

Gaïa releva la tête d’un coup et chercha l’homme en question du regard. Qui était ce ? Si ce n’est un potentiel sauveur ? Enfin son regard croisa celui de l’inconnu. C’était un homme d’une trentaine d’années environ. Il n’avait pas l’air très clean, il émanait de lui une aura mauvaise ... Elle sentait que cet homme pourrait être capable de faire des choses malsaines ... même pire. Elle ferma les yeux et se murmura une sorte de prière afin que quelqu’un d’autre renchérisse…

AUTRE HOMME : 600 !
HOMME MYSTERIEUX : 700.
AUTRE HOMME : J’en donne 800 !
HOMME MYSTERIEUX : 1000.
AUTRE HOMME : Très bien je laisse.
MARCHAND : 1000 une fois, 1000 deux fois, allez un petit effort ! 1000 trois f…
HOMME AUX CHEVEUX BLANCS : J’en prends 2000.
MARCHAND : 2000 !!!! J’y crois pas !!! Qui dit plus ?!!!! 2000 une fois, 2000 deux fois, 2000 trois fois !!! Adjugez au Monsieur avec les cheveux blancs là-bas !


Gaïa regarda l’homme qui venait de l’acheter et indirectement de lui sauver la vie. Il avait effectivement les cheveux blancs tout comme elle, il était plutôt grand et, chose inexplicable pour le moment, Gaïa sentait qu’il n’y avait aucune méchanceté dans son regard. Un sourire se dessina alors sur son visage. Elle allait enfin quitter cet enfer. Fini les corvées, fini les coups de fouets parce qu’elle n’avance pas assez vite, fini ce sentiment de n’être qu’un poids financier, fini les menaces de mort.
A la fin du marché, l'acheteur vint récupérer son achat. Le marchand lui donna la chaine qui reliait les poignets de la jeune femme et en échange l’homme aux cheveux blancs lui donna une bourse qui pesait 2000. Le marchand, qui avait des étoiles dans les yeux ne s’occupa plus d’eux. L’homme aux cheveux blancs s’empara de la chaîne de Gaïa et ils partirent tous les deux dans une direction encore inconnue et indéfinie. Dès la sortie de la ville de Gil’ ead, l’homme mystérieux retira les chaînes des poignets de la jeune fille. Cette dernière le remercia.

GAÏA : Merci maitre.

C’est ainsi que Gaïa passa 10 ans en compagnie de Zarakaï. Il la laissa pendant une certaine période aux mains d’un de ses amis les plus fidèles, en qui il avait une parfaite confiance et qui lui enseigna les bonnes manières, l’art de manier une épée, et surtout au vue de la particularité de l'épiderme de la jeune fille, il chercha des traces de magie en elle. Pour commencer, durant une année complète, il enchaîna les tests sur elle, des potions à ingurgité, à l'énonciation de l'ancien langage. Au bout de cette année d'expérience, le verdict tomba enfin. Sa couleur particulière vient bien de la magie, malheureusement, les particules de magie qui se sont greffées à son ADN sont bien trop minimes pour permettre l'utilisation de la magie dans sa totalité. Aussi, les sorts les plus simple pompent énormément d'énergie à la jeune qui n'en a que très peu à revendre malheuresement. Mais ce n'est pas grave, Gaïa était rassurée et même fière de connaitre enfin la raison de sa couleur de peau. Malgré sa maigre affinité avec la magie, l'ami de Zarakaï se donna la peine de lui apprendre l'ancien langage ... On ne sait jamais comme il avait coutume de dire. Elle s’entraina dur pendant 6 ans. L’apprentissage de l’ancien langage fut compliqué mais comme ce n’était qu’une enfant, elle put apprendre plus facilement qu’un adulte.
Au retour de Zarakaï, Gaïa avait 13 ans. Elle connaissait très bien les bases de la magie, les bonnes manières et se débrouillait avec une épée dans les mains. Son physique avait changé également. Même si elle avait toujours cette particularité de couleur de peau bleutée, elle grandit comme une jeune fille normale. A présent elle était plus grande, plus élancée, ses cheveux avaient encore poussés, ses yeux prient de nouvelles expressions, elle avait le corps d’une adolescente en pleine santé. Elle fut très heureuse d’apprendre que son maitre allait s’installer à Reavstone en tant que Gouverneur. Là-bas, il lui offrit un toit et elle ne quitta plus jamais cette maison. Elle fit la rencontre d’une elfe magnifique aux longs cheveux. Twiks était l’amante de Zarakaï et elle était d’une bonté sans faille. Gaïa en apprit un peu plus sur les elfes, elle était fascinée par ce peuple et a fait jurer à Twiks de l’emmener un jour dans son pays. Twiks était très douce avec elle, de plus elle avait la même couleur de cheveux et elle lui expliqua que chez les elfes, d’après ce qu’elle avait pu voir c’était très rependu. Depuis ce jour, Gaïa ne fut plus du tout complexée par sa couleur de cheveux.
Malheureusement, les choses ont changé et quatre ans plus tard, alors que Gaïa n’avait que 17 ans, Zarakaï changea. Depuis que Twiks l’avait quitté, il était littéralement rongé par la haine, la peur de perdre et surtout par ce trou de mémoire qui le fait énormément souffrir.
Un jour, alors qu’elle était partie faire quelques courses pour son maitre, elle tomba sur une affiche : c’était un appel à la résistance d’un groupe de rebelle dont Twiks et Zarakaï lui avait parlé : les Vardens. Enfin elle se trouva un but dans la vie. Elle servirait les vardens pour combattre ce tyran de Galbatorix. Ils prônent la tolérance, elle espère donc que sa différence ne sera pas un handicap pour elle.

En rentrant, elle monta dans sa chambre et se posa sur son bureau pour rédiger une lettre à l’attention de son maitre. Elle prit soin de rédiger avec sa plus belle écriture et en ancien langage, afin de démontrer la véracité de ses propos et d'en faire ressortir le plus d'émotion possible. Même si elle lui sera toujours redevable de tout ce qu’il a fait pour elle, il est tant qu’elle quitte Reavstone pour vivre d’elle-même. Voyager et surtout comprendre. Elle laissa Zarakaï avec une simple lettre qu’elle avait laissée dans l’entrée de leur demeure.

    Mon très cher maitre,
    A l’heure ou lisez cette lettre, je suis déjà partie. Je n’ai pas eu la force de vous le dire en face et j’espère que vous me pardonnerez un jour de cet affront. J’ai décidé de me rallier aux Vardens. Je trouve leur lutte noble et je trouve enfin un sens à ma vie. Peut-être que c’était écrit et qu’il s’agit là de ma destinée. Je ne vous remercierais jamais assez pour tout ce que vous avez fait pour moi, mais j’espère qu’un jour nous nous reverrons et que vous me pardonnerez.
    Merci encore pour tout,
    Votre dévouée, Gaïa
    .


Il se trouve que Zarakaï tomba plus rapidement qu’elle ne l’avait prévu sur la lettre et il alla aux portes de la ville en quelques secondes pour lui parler. Il connaissait les raccourcis et il arriva avant elle devant la grande porte de la ville. Il s’adossa au pilier gauche de la porte, croisant les bras sur sa poitrine. Il lui demanda si c’était vraiment ce qu’elle voulait faire, si elle ne regretta pas, si elle savait où elle allait.

ZARAKAÏ : Les Vardens ne valent pas mieux que les Empiriens. Ils tuent pour avoir gain de cause, en quoi est-ce mieux que l’Empire ? Je ne t’empêcherais pas d’y aller, mais sache que je ne serais peut-être plus là quand tu voudras revenir.
GAÏA : J’ai pris ma décision. Peut-être qu’ils ne valent pas mieux que l’Empire comme vous dites mais j’ai enfin trouvé un sens à ma vie. Je n’ai toujours été qu’un poids pour tout le monde, même pour vous je le sais. J’ai souvent cassé des verres, échouer à des exercices … Je ne serais plus un fardeau, je veux vivre ma vie et si je dois mourir, je mourais en servant une cause qui me parait noble. Mais je vous en prie, pardonnez-moi.


Même s’ils n’ont pas l’habitude de geste affectif, Gaïa ne put s’empêcher de courir vers son maitre, et de le serez dans ses bras, pour la dernière fois. Des larmes bleutées coulèrent le long des joues tachetées de la jeune fille. Cette séparation était difficile mais nécessaire.

C’est ainsi que Gaïa se retrouva avec les Vardens. Et comme elle s’y attendait, personne ne la jugea pour sa couleur de peau, au contraire, ils étaient étonnées et lui posaient des questions sur le pourquoi de la chose. Elle leur expliquait, comme lui avait apprit l'ami de Zarakaï, comment la magie avait modifié son ADN. Mais très souvent, elle repensait à son maitre en se demandant ce qu’il faisait, s’il allait bien … Il lui manque.[/b]



Derrière l'écran


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Alors moi c'est Chloé, alias Twiks. J'ai 20 ans tout rond et toutes mes dents =D Je suis de la région parisienne et j'ai découvert .jeun il y a maintenant 5 ans grâce à une bonne amie : Eïleen, alias Yuna =)I Il me semble que le code est Petits pois dans la chaussette =D

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