Shin'ya

(c) Nami

NOM : /// PRENOM(S) : Mon Dragonnier m'a donné le nom de Shin'ya. Il me convient parfaitement. SURNOM(S) : Quelques fois, pour faire plus court, Osth me nomme Shin'. RACE: Ca se voit non ? Je suis une dragonne ! LIEU DE NAISSANCE : Du Weldenvarden, non loin du lac Röna, au Nord-Est de l'immense forêt ÂGE : Je suis très jeune, deux mois à peine. Comme dirait un dragon bien plus âgé, j'ai encore des morceaux de ma coquille collés sur moi (citation sortie d'un livre sur les dragons) SITUATION FAMILIALE : ///

Me and Myslef


Caractère :

Joueuse – Intrépide – Protectrice – Drôle – Timide – Réservée - Déterminée
Etant encore très jeune, je suis très joueuse avec les gens que je connais. Je suis toujours en train de les provoquer pour qu'ils se mettent à jouer avec moi. Des fois, ils acceptent, des fois pas, cela dépend des circonstances du moment. Dans les moments de jeu, je peux être aussi très drôle quand je veux. Mais bien que je sois ainsi envers les personnes que je connais, je n'ai pas du tout le même comportement en présence d'inconnus. Dans ces cas-là, je suis plutôt timide et réservée, n'osant pas trop attirer l'attention sur moi.
Je peux être d'une détermination sans faille quand il s'agit de mon Dragonnier. Pour lui, je prendrais tous les risques possible et envisageable, sans en mesurer toujours les conséquences. Vous comprendrez donc que je suis très protectrice quand on parle d'Osth.

Physique :
Je ne suis pas encore bien grande, venant à peine de sortir de mon oeuf, mais je grandis chaque jours un peu plus. Mes écailles sont d'un magnifique bleu outremer, tandis que celles de mon poitrail sont d'une couleur violette. Je possède une rangée de longs piquants couleur d'ivoire, qui coure tout le long de mon échine, partant du haut de ma tête pour finir au bout de ma queue. Mes yeux, quant a eux, sont d'une belle couleur bleue clair. Je possède également deux cornes sur le haut de mon crâne, également de couleur ivoire, et mes griffes sont elles aussi d'une teinte ivoire. Si je venais à déployer mes grande ailes, vous pourrez découvrir, sur la face interne, une belle couleur verte, tandis que sur la face externe, vous verrez une couleur identique à celles de mes écailles. Vous pourrez trouver une griffe, couleur ivoire aussi, sur chacune de mes ailes.

Principales qualités & défauts :
Je n'ai encore jamais participé à un combat, quel qui soit. Je ne peux donc pas connaître la manière dont je me bats. Je peux juste vous dire que je me battrais comme un dragon le ferait.

Autre :
Parce qu'il m'aime beaucoup (du moins, je l'espère), Osth va m'offrir, plus tard, quand je cesserais de grandir autant d'un jour à l'autre, un bel anneau que je mettrais sur la griffe de mon aile droite. Cet anneau serait en simple or jaune et décoré de plusieurs gravures.


My life


Histoire :

~~ I : Du Reve a la Realite
La vie est un rêve, mais rêver n'est pas vivre – Constantÿn Huygens


Le soleil brillait dans un ciel parcourut par des nuages blanc et cotonneux, masquant par moment les rayons qui illuminaient la terre au-dessous de lui. Le ciel était vide, du moins, si on avait pas une bonne vue, car, très loin au-dessus du sol, planait un dragon, ou plutôt une dragonne. Cette dragonne, c'était moi (enfin, ça l'est toujours). Quand je vole, je suis libre de tout. Je peux faire ce que je veux, des acrobaties, planer ou plonger en piqué vers le sol. Voler jusqu'à essayer d'atteindre le soleil, ou rester au niveau du sol. Rien ne pouvait me contraindre. Je pouvais plonger dans l'eau d'un lac ou d'un océan pour ensuite revenir dans les airs, répandant tout autour de moi des perles liquides qui étincelaient au soleil. Là où je me trouvais, j'étais toute puissante, où que ce lieu puisse se trouver. Je pouvais attraper n'importe quelle proies, qu'elle soit petite ou grande. Aucun autre dragon ne pouvait me résister, j'étais bien plus forte que tout le monde. Même les plus vieux mâles courbaient la tête quand je passais. Alors que dirent des créatures qui étaient dores et déjà plus faibles que nous, les Dragons ? Ils fuyaient à mon approche.
Pourtant, depuis quelques temps, je ressentais comme une présence à mes côtés, mais quand je regardais, il n'y avais jamais personne. Pourtant, je ne rêvais pas, j'en étais certaine. Mais alors, où se trouvait l'être qu'était cette présence ? Et plus le temps passait, plus cette présence se faisait sentir. Et plus elle se faisait sentir, plus je l'appréciais, allez savoir pourquoi. Et d'un coup, le temps changea. D'énormes nuages sombre apparurent et masquèrent le soleil. Le tonnerre résonna à mes oreilles, voilent, impitoyable, d'une anormale régularité ; il semblait me poursuivre comme un claquement de sabots. Inclinant mes ailes, je descendis pour tenter d'échapper à cette tempête mais les ténèbres me devancèrent. La texture duveteuse des nuages en contrebas disparut pour faire place à une brume humide, chaotique... étouffante. Les ténèbres s'immiscèrent dans mes narines et mes poumons. Je ne pensais qu'à une seule chose, sortir de cette tempête. Je tentais de tendre le cou, de donner à mon corps l'allure d'une flèche pour échapper à l'orage et trouver un abri, mais mes membres refusaient de coopérer. Je me tordis, en proie à la confusion la plus intense, et luttais pour éviter de respirer l'air épais de l'orage. Soudainement, un énorme craquement retentit et je me suis immédiatement demandé si j'avais été frappée par la foudre. Mais non à priori. Je respirait un air pur et frais, une bouffée qui insuffla une toute nouvelle vivacité et me donna des forces. Le brouillard se dissipa, même si le tonnerre persistait à mes oreilles. Je compris alors que c'était le bruit de mon cœur. Pas de nuages, pas d'orage, pas de brouillard étouffant : seulement des crampes, de l'humidité et une irritation insupportable, come si des insecte glissés sous mes écailles me mordaient. Je me tordit et m'étirais ; mes quatre membres, mon cou et ma queue semblaient lancés dans une course pour s'éloigner le plus possible les uns des autres – puis le monde céda... et je me retrouvais sur le flanc.



~~ II : Eclosion et Debut d'une Vie Nouvelle
Notre vie est un livre qui s'écrit tout seul. Nous sommes des personnages de roman qui ne comprennent pas toujours bien ce que veut l'auteur – Julien Green


Des arbres, il n'y avait que ça à perte de vue. Que du vert, et du brun, parsemés quelques fois par des fleurs de couleurs plus éclatantes. Il n'y avait rien d'autre que de la végétation. Je me relevais sur mes quatre pattes et déploya mes larges ailes à la membre bleue d'un côté et verte de l'autre, histoire de me délier les muscles après cette si longue période de confinement. Confinement ? N'étais-je pas, quelques temps plus tôt en train de voler dans un ciel au paressaient des nuages cotonneux ? C'est pourtant ce dont je me souvenais, mais des souvenirs d'un endroit petit, restreint me revenaient également à l'esprit. D'où venaient donc ces images ? Je n'en avait aucune idée. Laissant cela de côté, j'entrepris d'explorer mon nouvel environnement. C'est là que je la vis. Cette forme immense (enfin, immense pour moi), allongée sur le sol, complètement immobile. Curieuse, je m'approchais lentement pour voir ce que c'était, mais quand je ne fut plus qu'à quelques petits pas de cette forme quand cette dernière frémit et se mit à remuer. Prise de frayeur par ce que je croyait être quelque chose de totalement immobile, je sautais en arrière et poussais un... un couinement ? D'un coup, j'oubliais complètement la forme qui remuait sur le sol, totalement perdue au milieu de mon étonnement. Pour la première fois, je me regardais vraiment, chose pas très difficile grâce à mon long cou. Oui, j'étais bien une dragonne, mais, quand je regardais à nouveau ce qui m'entourait, je vit vraiment à quel point j'étais petite, comparer à ce monde où j'étais capable de voler et où j'imposais le respect à toutes les autres créatures. Le pourrais-je encore à présent ? Est-ce que cet univers où je venais d'atterrir ressemblait à celui que je venais de quitté ? Mes pensées furent interrompues quelques instants plus tard par quelques chose que je n'avais jamais entendu jusqu'à présent : une voix.


• Eh, mais qui t'es toi ?

Tournant ma tête dans la direction d'où provenait ce son, je vis que « la forme » était en fait un être vivant. Quoi exactement, je ne le savais pas. Il était bien plus grand que moi, même maintenant alors qu'il n'était qu'assit. Je n'osais même pas imaginer ce que ce serait quand il se tiendrait sur ses pattes. Je ne voyais presque pas son visage car quelque chose tombait devant, recouvrant toute sa tête. Il n'y avait que le bas de son visage qui était visible et je pouvais y voir sa gueule qui semblait curieusement étirée. Bien que la voix parut douce à mes oreilles, je me mis à grogner, découvrant mes crocs blancs, indiquant par là que malgré qu'il soit bien plus grand que moi, je serais prête à me défendre. Mais cet être, quel qu'il soit, ne semblait pas me vouloir du mal. De plus, je remarquais que c'était lui cette présence que j'avais ressenti dans cet univers que j'avais définitivement quitté. Petit à petit, je me calmais. Curieuse de savoir qui il était, je m'approchais avec prudence, flairant son odeur. Malgré ma grande curiosité, je m'arrêtais à quelques pas de lui. Il n'avait toujours pas bouger, tout du moins à mes yeux. Combien de temps nous restâmes ainsi, à nous regarder l'un l'autre, je ne saurais le dire. Ce que je peux dire en revanche, c'est que je fus très surprise par les paroles que prononça l'autre. Je ne peux pas dire que je connaissais ce langage, ni que je comprenais ce qu'il disait exactement, mais j'en compris le sens général. Il dit :


• Approche Dragon, je ne te ferais pas de mal.

Mes pattes, comme mues par une volonté qui leur était propre, se mirent à engloutir la distance qui me séparait de l'autre inconnu, jusqu'à ce que je ne sois plus qu'à quelques centimètre de lui et que, simplement en tendant la main, il pourrait toucher mes écailles. Et c'est ce qu'il fit. Il tendit sa main et ses doigts touchèrent les écailles bleues de mon flanc. Se produisit alors un phénomène incroyable. Au contact de mes écailles, l'inconnu se raidit et s'écroula à nouveau sur le sol. Il ne semblait plus pouvoir bouger. De mon côté, je sentis quelques chose au plus profond de moi. Quelque chose s'était rajouté en moi à ce simple contact. Intriguée, je regardais ce que c'était, mais il n'y eut aucune réponse, du moins, pas tant que l'inconnu était paralysé suite au contact avec mes écailles. Dès qu'il put retrouver l'usage de ses membres, il se releva et m'observa. Alors, je sentis à mon tour quelque chose qui me frôlait, mais je savais pertinemment qu'hormis l'inconnu et moi, il n'y avait personne dans les parages. Hors l'autre ne m'avait pas touché, il n'avait même pas esquissé le moindre mouvement. Alors, qu'était donc de frôlement que je ressentais ? Rapidement, je compris que ce que je ressentais n'était pas physique, mais mental. Alors, je m'ouvris et laissais l'esprit plus si étranger que ça se mélanger au mien, tout en restant une entité à part entière. Il en allait de même pour mon esprit à moi.
Ce qui se passa ensuite, je ne saurais vous l'expliquer clairement, car je n'en ai moi-même aucune idée. Tout s'est précipité. Je sus juste que l'esprit qui se mêla au mien rayonnait de joie. Plus tard, bien plus tard, c'est elfe, puisque tel était le nom de ces êtres, me donna à moi aussi un nom : Shin'ya. Je l'appréciais beaucoup et pour montrer ma gratitude et ma satisfaction à me nommer ainsi, je ronronnais. Depuis ce jour, deux mois se sont écoulés. J'avais bien grandis, atteignant la taille de ces animaux que les elfes et les hommes aimaient à monter pour se déplacer plus vite. Je parlais comme l'elfe, qui avait nom Osthato Chetowa, pouvant soutenir une conversation avec n'importe qui sans problème.





Spoiler:



Behind the computer




(c) Nami

PRENOM &/ou SURNOM :  CELEBRITE SUR L'AVATAR : Valckie, de la tribu des Hiryuu Tategami COMMENT AVEZ-VOUS DECOUVERT LE FORUM ? Mystère CE DERNIER VOUS PLAIT-IL ? Il me semble que s'il ne me plaisait pas, je ne serais pas là CODE : Bon, je vous annonce clairement que j'ai lu le règlement et que je l'approuve ! Mais je ne suis pas une loutre, juste une très jeune dragonne.